Court Métrage : CASE
Ludivine Hardy de Buisseret, 1ère Assistante Production

- Comment avez-vous atterri dans le monde du cinéma ?
J’ai débarqué dans le monde de l’audio-visuel comme une touriste après avoir suivi des études de psychologie à l’ULB. J’avais laissé mûrir pendant quelques années une idée de scénario avec l’envie profonde de réaliser le film que j’avais en tête. Après mes études, j’ai décidé de m’inscrire à la formation qui me semblait la plus courte et complète possible pour apprendre à réaliser un film avec les moyens du bord. La formation était axée sur du documentaire et contre toutes attentes, c’est ce milieu qui m’a ouvert les bras.
J’ai d’abord cherché un endroit où faire un stage et me suis retrouvée dans l’équipe de Jérôme Campion qui m’a proposé un rôle d’assistante de production. En parallèle, j’ai saisi l’opportunité de réaliser un documentaire de manière professionnelle sur lequel je travaille actuellement.
- Pourquoi vouloir travailler dans ce secteur ? Qu’est-ce qui vous attire ?
Ce qui m’attire dans ce milieu, c’est le besoin irrépressible de réaliser les projets que j’ai en tête et le plaisir de participer aux projets des autres. J’ai découvert également la joie faire partie d’une équipe motivée et soudée! J’ai rencontré des gens passionnés, qui avaient des rêves comme les miens et avec lesquels j’espère partager quelques projets dans le futur !
- Auriez-vous une anecdote du tournage à nous partager ?
C’était assez drôle de voir les coulisses du film, on faisait les clowns ! Entre Loubna qui nous expliquait les vertus de ses pierres et nous couvrait d’énergies positives avec des gris-gris, Clara qui commentait ses photos de beaux mecs ou de bikinis, les jeux de mots idiots avec le titre « CASE » écrit sur le Clap… On était peut-être un peu CASE-pied, mais on a bien ri !
- Pourquoi faut-il aller voir CASE ?
On n’a pas encore découvert le film monté mais je dirais qu’aller voir CASE, c’est participer à donner de la visibilité à un beau projet qui a eu la force de réunir des gens, de nous donner de l’expérience et des contacts. Jérôme est un moteur qui a su créer un milieu de travail bienveillant dans lequel tout le monde se sentait respecté et il avait toujours le soin de chercher à nous donner une contrepartie de notre travail. Il nous donnait des responsabilités en fonction de ce qui nous intéressait et de ce qui pouvait être porteur professionnellement pour chacun d’entre nous.
By Lola Dubrunfaut
